Les Maîtres et les Élèves

LES MAÎTRES ET LES ÉLÈVES

Critique des maîtres face à leurs élèves, à l’école.

En effet, les élèves se plaignent beaucoup de leurs professeurs, de leurs maîtres. D’ailleurs, pourquoi est-ce que l’on appelle les personnes charger de l’enseignement à l’école, des « maîtres » ?

Parce que la définition d’un maître est : personne qui a le pouvoir et le droit absolu de se faire obéir de quelqu’un. Je dirais plutôt, car il ne faut pas trop abuser : personne qui a le pouvoir de se faire obéir de quelqu’un.

Dans cette définition, il y a deux mots que je retiens : POUVOIR et OBÉISSANCE

[le jubere et le parere].


À l’école, il y a le maître et l’élève, le maître et l’esclave. Le maître commande, il a le pouvoir ; et l’élève obéit, il ne peut rien dire, rien revendiquer. À l’école, nous sommes en quelque sorte dans la même situation que celle de l’époque d’un roi. Oui, le roi c’est le maître et l’esclave c’est l’élève. Je veux bien avouer que ce n’est pas tout à fait la même situation, car le roi avait le pouvoir absolu sur ses esclaves, mais le maître ne la quand même pas sur ses élèves. Par exemple, le roi pouvait condamner quelqu’un en une seule parole, mais cela, le maître en est incapable.

Cependant, il y a quand même un point commun entre le roi et le maître : tous deux ont le pouvoir. Il y a aussi un point commun entre l’esclave et l’élève : tous deux obéissent sans revendications. Donc, nous sommes bien dans la situation où l’élève doit obéir à son maître.

Aussi, l’élève ne peut rien dire face à son maître, car celui-ci possède des armes redoutables : le mot écrit dans le carnet de correspondance de l’élève — la colle d’une heure et demie ou de trois heures — envoyer l’élève chez le surveillant principal pour qu’il le sanctionne — envoyer l’élève chez le directeur. Eh oui, l’élève est manifestement pris au piège ! Mais le maître, lui, est bien tranquille ! Mais il y a une chose encore plus terrible dans cette situation !

Effectivement, le maître se venge très très souvent sur son élève. Prenons un exemple concret : nous sommes lundi matin, en cours de maths, juste après le week-end. Le professeur de maths a passé un mauvais week-end parce qu’il avait énormément de travail et parce qu’il a fait un très mauvais temps et donc, qu’il n’a pas pu sortir dehors se promener. Donc, en venant en cours le lundi matin, le professeur de maths est assez énervé et pas détendu. Donc, il se venge sur ses élèves, il les dispute, il les contre, il les sanctionne, en résumé, il fait toutes sortes de choses pour se venger et expier sa mauvaise humeur. Le maître a le pouvoir, donc il peut se venger sur ses élèves, sur ses esclaves, sans qu’ils ne lui disent rien. Et cela est extrêmement injuste !!!

L’élève doit subir la mauvaise humeur du professeur sans qu’il ne lui ait rien fait, et sans rien pouvoir lui dire. Trouvez-vous cela juste ?

Par conséquent, le maître s’est bien vengé sur ses esclaves et ceux-ci ressortent du cours très énervé et ayant sans doute pris quelque sanction.

Les élèves subissent la colère de leurs maîtres sans pouvoir contester et de plus, ils leur obéissent. Un pouvoir est exercé par les maîtres, face à leurs élèves, et cela se produit en ce moment !

1 commentaire:

bentham a dit…

C'est idiot, c'est vraiment de la non-pensée d'adolescent bouffé par le ressentiment. Va, c'est pas grave, tu reliras ton texte dans dix ans et tu le verras aussi.